10:41 / Marcus Miller- M2- Burning down the house

C'est pas une vie d'étudiant ça.

Hier consécration de la fin de la semaine et début du week end. Tout le monde à la northen Tavern : Ulf, Stephan, Torsten, Ju, Jigna, Sylvain, Guillaume, Manish et Xavier.

Il manque un nom, non? Et si il manque moi.

La très courte nuit d'avant m'avait lessivé et j'étais comme un Zombie dans notre cuisine à m'enfiler bagel sur bagel (je vais l'ouvrir mon coffee shop à l'américaine à Paris, je suis sur qu'il y a un potentiel) et nouilles chinoises sur nouilles chinoises. Décidé à être productif le lendemain, de me lever tôt et d'abattre du taf j'étais au lit à 23:30, juste au moment où tout le monde partait pour le bar.

Black out.

Je suis dans mes rêves.

Je rêve de Toxic de Britney Spears.

J'ouvre un oeil. Ah non c'est pas un rêve...ah la la mais quelle heure il peut être? 4 heures...!

Et je descend et je vois ma petite maisonnée en branle, y'a de l'activité au french quarter (la Jail area avec la chambre de Sylvain et Guillaume), y'a de la musique à fond dans la cuisine, de la danse dans la chambre d'Ulf. Des grands sourires dans tous les sens. Une gaieté environnante qui mets de bonne humeur. C'est vrai qu'il est 4 heures du matin, mais bon...il y a des choses sur lesquels je suis tolérant et cela en fait partie. Ce n'est pas comme si s'agissait d'un quotidien. Les bonnes vibes sont là et c'est ça qui compte (non maman je n'ai pas fumé de substances illicites). Un lait-chocolat-froid préparé je regagne ma chambre, aïe les blaireaux (cf liens) commencent à poster, je tiens bon, dis au revoir, éteins l'ordinateur...et ne trouve pas le sommeil.

Il est 5h30, je descend, tout est plus calme, je couvre Stéphane endormi dans le canapé d'une couverture, je lui retire ses chaussures. De la lumière dans la chambre de Sylvain...et là chers lecteurs il s'agit de l'erreur tactique classique : penser que ça va s'arretez, que l'on va dire bonne nuit et repartir se coucher...

5 heures plus tard je suis à ma place favorite dans la cuisine, cafetière en place, luminosité géorgienne. Pour ce qui est des bonnes vibes {vaïbeuh} ça restera, je pense, un souvenir fort de mon année : délire photographique, déjeuner gargantuesque, danse éfrénée, partage musical pour finir sur une session travail. Parce que le travail, ça c'est une vraie valeur que les jeunes ont oublié ma p'tite dame....