A Tokyo il y a principalement des Japonais. Mais le Gaijin n'est plus rare, dans le métro, dans la rue, près des bars à hotesse on en trouve facilement.

A quoi reconnait-on le gaijin perdu dans la mégalopole et celui habitué à la vie Tokyoite? La recherche d'un soutien, d'un sentiment de ne pas être seul. C'est ainsi que deux gaijins ne se connaissant ni d'éve ni d'adam vont se faire un petit sourire, un petit acquiessement de la tête, un signe de connivence.

Ce matin à Shinjuku un mec en costard m'a fait ce grand sourire et ce hochement du visage. Bah j'aime pas ça! Je le connais pas ce type, qu'est ce qu'il lui fait penser qu'on est proche? C'est bon moi je suis pas perdu (en fait si un peu dans le métro ce matin mais Shinjuku c'est de la vrai folie et j'aimerais bien vous y voir). Moi je les évite soigneusement, surtout si c'est pour tomber sur des américains arrivant en terrain conquis